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Témoignage M VIALA Term en 2012)

Témoignage

MarieVIALA

EvedeTerminaleS3 en 2012

La vie au lycée Emile Duclaux, en terminale... Comment ? Déjà la troisième année ici ? Impossible, ça ne peut pas être passé aussi vite. Et pourtant, si, plus qu’un an ici, l’an prochain il faudra quitter l’enceinte rassurante du lycée, se lancer dans le grand saut dans le vide du « post bac ».

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Une naissance tumultueuse... (2)

Extrait de l’ouvrage édité par l’association pour le centenaire du Lycée Emile Duclaux.

Préhistoire : le collège d’Aurillac.

En janvier 1548 dame Jeanne de La Trelhe (ou La Treilhe), veuve de Ferrand de Vileneuve, fit donation de la moitié de ses biens ”pour faire construire, édifier, fonder et doter un collège d’école et d’études en ladite ville d’Aurillac.”

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Le Lycée hôpital (14-18) (2)

 Un article de Germain Pouget, extrait de l’ouvrage édité par l’association pour le centenaire du Lycée Emile Duclaux.

L’hôpital temporaire N° 22

Au mois d’août 1914 arrivent à la gare d’Aurillac les premiers convois de blessés, Français et Allemands, qui seront soignés dans les hôpitaux « temporaires », et celui du Lycée Emile Duclaux les reçoit dès le 25 août :

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Nos anciens ont du talent (La Promesse de Claude Jean)

 

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La Promesse.    (Claude Jean)   

Dressées à la verticale, les parois rocheuses de l'étroit défilé condamnent le lit aride de l'oued à filer droit. Les pâles rayons d'une lune accrochée au plus haut du ciel ne parviennent pas à éclairer les profondeurs obscures de la gorge. Attentive à ne pas poser ses pieds nus sur les pierres aiguës et tranchantes, elle fuit éperdument. La résistance de l'air tire ses cheveux en arrière et emplit ses oreilles d'un bourdonnement sourd et continu. 

D'une foulée heurtée et saccadée, rendue incertaine par l'inquiétude qui la gagne et menace de la déborder, elle avance sans s'interroger plus avant. Sa respiration devient haletante et sibilante, son souffle court et saccadé.

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